Avant le départ !

Liquider les fromages blancs avec qq fraises du jardin :

Tout simple et très frais.

4ème de couverture : 

Après  un procès qui a passionné l'Amérique, la jeune Janie Jenkins est reconnue coupable de l'assassinat de sa mère, la très fortunée Marion Elsinger. Dix ans plus tard, à la suite d'une enquête pur la manipulation de preuves, Jenkis sort de prison. Sa libération scandalise le pays, convaincu de la culpabilité  de la riche héritière. Janie est-elle coupable ou innocente ? Elle-même n'en a pas la moindre idée. Trop ivre la nuit du meurtre, elle n'a plus aucun souvenir de ses faits et gestes. Il ne lui reste en mémoire que les deux derniers mots mystérieux qui la conduiront à trouver ses réponses dans une petite ville du Middle West.

4éme de couverture :

"Matt ouvrit l'enveloppe avec curiosité. Elle était vide, mis à part une photographie. Il la prit et se trouva face à face avec son propre visage."

Matt, jeune écrivain londonien, est en pleine crise existentielle. Depuis le succès de son premier roman, il es devenu incapable d'écrire la moindre ligne. La jolie Annabel lui reproche de ne pas s'investir davantage dan leur relation. La découverte d'étranges photos dans un coffret, ayant appartenu à a mère libère les fantômes du passé. Qui est l'auteur de ces clichés? Désorienté Matt retourne à Exmoor, sur les lieux de son enfance.

Chassés-croisés amoureux, secrets de famille et scones à volonté : un roman délicieusement british !

*****

On se laisse emporter par l'histoire et la petite musique so british ...

. . . parce que cultivés dans mon jardin !

On s'est dit qu'une petite gourmandise serait la bienvenue !

Des M**s, du chocolat noir,  des grains de riz soufflés

Faire fondre les chocolats, ajouter le riz soufflé, mélanger.

Faire prendre au frigo.

Le plus long :-)

Découper en petits morceaux et déguster !

4ème de couverture : 

En avril 2000, Sylvain Côté s'enlève la vie, sans donner d'explications. Ce garçon disparait et nul ne comprend. Sa femme Mélanie s'accroche férocement à leur fils Stéphane; son père Vincent est parti se reconstruire près des arbres muets; sa mère Muguette a laissé échapper le peu de vie qui lui restait. Seule la remuante et désirable barmaid Charlène, sa maîtresse, cintinue de lui parler de sexe et d'amour depuis son comptoir.

Ce n'est pas tant l'intrigue qui fait la puissance hypnotique du roman de Marie Laberge que ses personnages, qui parlent, se déchirent, s'esquivent et luttent dans une langue chahutée, turbulente, qui charrie les émotions et les larmes, atteignant le lecteur au coeur.

***

J'ai choisi ce livre... Parce qu'ils m'ont parlé de  leur douleur, de leurs interrogations mais surtout de leur incompéhension face au geste de leur fils, parce que je ne savais quoi leur dire...mais je les ai écouté.

Je ne sais pas encore très bien ce que je vais en faire ...

Mais elle sont arrivées!

4éme de couverture :

Elles se sont rencontrés à la fin des années 1960 et ne sont plus quittées : tout le monde les appelle "Les Suprêmes", en référence au célèbre groupe de chanteuses des seventies. L'intrépide Odette converse avec les fantômes et soigne son cancer à la marijuana sur les conseils avisés de sa défunte mère, tandis que la sage Clarice endure les frasques de son volage époux pour gagner sa part de ciel. toutes deux ont pris sous leur aile Barbara Jean, éternelle bombe sexuelle que l'éxistence n'a cessé de meurtrir. Complices dans le bonheur comme dans l'adversité, ces trois irrésistibles quinquas afro-américaines se retrouvent tous les dimanches dans l'un des restaurants de leur petite ville de l'Indiana : entre commérages et confidences, rire et larmes, elles se gavent de poulet frit en élaborant leurs stratégies de survie.

Invitation à une lecture aussi décalée que féconde de la problématique raciale aux États-Unis, ce formidable roman de l'amitié et de la résilience s'affirme comme une exemplaire défense et illustration de l'humanisme conçu comme la plus réjouissante des insurrections.

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Plus léger (quoique...) que le précédent, un bon moment de lecture !

L'été dernier, c'est Fils aîné qui avait refait sa chambre avec sa super étagère :

Cet été, c'est le Bouclé qui refait la sienne.

Des idées bien arrêtées...

Et un pan de mur tapissé.

Oui mais voilà, la tapisserie, j'en ai jamais fait.

Et c'est à MOI que revient la lourde tâche de l'assister !

Je viens de te dire que je n'en ai jamais fait !!!

Disciplinée, je lis la notice accompagnant le rouleau...

Idem pour la colle...

Je rassemble les outils...

Mais pour bien démarrer, il nous faut un fil à plomb.

Qu'à cela ne tienne, on improvise :

Ficelle de cuisine et pince à glace !!

2 lés, c'était pas si compliqué :-)

Et mon Bouclé est ravi !

C'est la question du jour !

Un jour non travaillé ?

Pour de moins en moins de gens...